Bienvenue à la Ciné-News Communauty pour la deuxième partie
de la Rétrospective spéciale Indiana Jones, centrée cette fois sur la suite des
Aventuriers de l’Arche perdue.
La première partie de la rétrospective est à retrouver en cliquant >> ICI <<.
Indiana
Jones et le Temple maudit est sorti en 1984. Une fois n'est pas coutume, c'est le grand Steven Spielberg qui est à la réalisation. Il s’agit du deuxième volet de la série de quatre films
dont Indiana Jones est le héros. L’action de cet opus se déroule en 1935, chronologiquement
parlant donc, l’action du film se déroule avant le premier volet
(dont l’histoire se passe en 1936).
Au casting,
on y retrouve évidemment Harrison Ford dans le rôle de l’archéologue au chapeau
mais aussi Jonathan Ke Quan dans le rôle de Demi-Lune et Kate Capshaw dans
celui de Willie Scott, la jolie blonde.
Comme je l’ai
dit dans la rétrospective précédente, M6 diffuse depuis la semaine dernière l'intégrale de la franchise, à raison d'un opus par semaine. Mardi
soir, c’était au tour du second volet. Par conséquent c’est également à mon tour d’aborder ce film, avec un regard critique évidemment.
Tout comme pour le premier volet, la scène d’introduction est incroyablement réussie,
j’ajouterai même qu’elle est époustouflante. Elle introduit efficacement les nouveaux
personnages et l’on se rend compte que c’est de cette scène que va découler
toute l’intrigue du film. Encore une fois, lorsque le film débute nous
sommes en pleine action, le Dr. Jones est dans une quête qui semble toucher à
sa fin. Cependant, les conséquences de cette quête nous entraînent dans la trame
principale de cet opus.
Je ne sais pas si vous l’aviez remarqué, mais lors de l’exposition
(les quinze ou vingt premières minutes) Spielberg nous fait un petit clin d’œil à la saga de son
confrère Geroge Lucas : Star Wars, voyez plutôt :
Ceci n’est pas étonnant
puisque le papa de la Guerre des Etoiles est lui-même producteur de cette
franchise.

En revanche, ce Temple maudit réutilise les codes de la franchise,
mis en place dans le film précédent. On y retrouve par exemple le procédé de la synecdoque (que j’ai déjà abordé dans la rétrospective
précédente), d’une manière plus discrète cette fois-ci.

Spielberg nous offre de très beaux plans.
Celui qui m’a le plus marqué est celui où Demi-Lune & Indy discute en pleine nuit, avant d’arriver au Palais dans lequel ils doivent se rendre. Lors de cette
discussion, les deux protagonistes sont au premier plan mais ne sont pas placés au centre du cadre, ils sont plutôt situés sur la gauche. Derrière eux, on
distingue un ciel étoilé. La photographie de ce ciel a tendance à tirer vers le bleu.
Cette séquence dure peu de temps, mais elle m’a vraiment marqué. C’est très
beau à voir.

Indiana Jones, c’est typiquement le genre de film où nous savons que le
héros va s’en sortir, mais la question est de savoir quand et comment.
Afin de retarder au maximum la réponse à ces deux questions, il faut faire
jouer le suspense. Là où le scénario est très bien écrit c’est
que le suspense est
présent tout au long du long-métrage. Et le plus fort, c’est que ce n’est jamais
terminé. Lorsque l’on croit que le héros est sauvé, une nouvelle
mésaventure lui arrive juste derrière. Le suspense continue d’être maintenu coûte que coûte,
à notre grande surprise.

La bande-originale de John Williams est parfaite, comme à
son habitude. Rien à dire dessus.

Rendez-vous la semaine prochaine pour la rétrospective d' Indiana Jones et la Dernière Croisade, troisième aventure de notre archéologue préféré ! 😉
A bientôt sur Ciné-News ! (←en cliquant ici, vous retrouverez la page facebook dédiée à ce blog)
Alex
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